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De serieuses etudes montrent que si la sexualite est une dimension indeniable en personne humaine, elle reste aussi un facteur de sante tout court.

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De serieuses etudes montrent que si la sexualite est une dimension indeniable en personne humaine, elle reste aussi un facteur de sante tout court.

Mes explications du Dr Sylvain Mimoun.

Muscler le c?ur L’acte sexuel, reduit a sa dimension “physique”, va permettre, ou autre, d’eliminer des toxines, d’activer la circulation et de muscler le c?ur. Voila un premier bon argument Afin de convaincre un(e) mari reticent(e) ! Apres un infarctus ou un double pontage, un couple est en mesure de craindre de se lancer dans des relations sexuelles. Bien au contraire, estiment nos cardiologues, qui preconiseront a 1 homme au c?ur fragile de reprendre progressivement ses ebats. En moyenne, le c?ur bat entre 70 et 80 pulsations par minute. Lors d’un rapport sexuel, le rythme cardiaque passe a 100 pulsations pendant la phase d’excitation, et meme a 180 au moment de l’orgasme. “Des etudes ont montre une reduction du risque cardio-vasculaire. On estime qu’une personne avec un c?ur en pleine forme se doit de avoir un ratio d’une trentaine de minutes, trois fois via semaine”, preconise le Dr Mimoun. Autre benefice moins connu : Realiser l’amour serait egalement excellent concernant prevenir le cancer une prostate. Une etude de 2004 (publiee dans le Journal of the American Medical Association) a revele une baisse de 15 % du risque de developper ledit cancer. Mieux ! En 2006, une autre etude du Pr Giles (British Journal Of Urologie) conclut a J’ai diminution du va parfois ce meme cancer de 30 % a partir de cinq rapports par semaine (masturbation incluse), comparativement a un homme ayant moins de deux rapports hebdomadaires. L’explication reste physiologique. Grace a l’ejaculation, la prostate est “decongestionnee” regulierement et elimine des toxines ; et cela limite les phenomenes inflammatoires. “Prudence toutefois, ces etudes restent peu grandes, previent le Dr Mimoun. Cela ne faudrait nullement en faire un porte-drapeau de l’hypersexualite ou de la masturbation !” Les femmes, elles, seraient protegees du cancer du sein grace a leur ocytocine, dite “hormone de l’attachement”. Secretee lors de l’allaitement du bebe, elle se libererait egalement pendant des stimulations de leurs mamelons par le partenaire. On sait encore qu’au moment de l’orgasme, elle est presente en grande quantite. Cette hormone feminine non juste cree du lien entre la mere et son bebe, ainsi, aussi entre l’actrice et son sites de rencontres gratuits pour les dГ©tenus partenaire sexuel.

Se destresser un ratio sexuel harmonieux s’accompagne d’un bien-etre, d’une sensation d’euphorie.

Et si l’on dort si bien apres, des scientifiques le disent, c’est grace a toutes les endorphines qui permettent la relaxation et font vite tomber les hommes dans les bras de Morphee, tandis que les bienfaits de l’orgasme sont plus durables chez la femme. Cet effet antistress de l’amour ne serait-il finalement gui?re ressenti d’la meme maniere via les hommes et par ces dames ? Suivant le Dr Mimoun, “les hommes surtout ont conscience de l’effet extremement relaxant de l’amour”. A niveau de stress egal (preoccupations, soucis de tous ordres), “les hommes font l’amour Afin de se detendre, les femmes ont besoin d’etre detendues afin d’effectuer l’amour”. Quoi qu’il en soit, cette detente est benefique pour la sante physique et psychique.

Jouer aux fiances En 1975, L’OMS (Organisation mondiale d’une sante) a defini tres serieusement la notion de “sante sexuelle”, lui donnant tel fonction principale l’epanouissement de la personnalite. “La complicite sexuelle s’entretient”, rappelle le Dr Francoise Cour, desolee de ces situations ou nos hommes se retrouvent en tronche a tete avec une soeur qu’ils ont delaissee pendant des annees, des couples qui n’ont ni le langage ni nos gestes ni la familiarite physique pour s’aimer. Elle le constate dans ses consultations : “Les seniors ne se parlent pas assez d’eux, de leurs sentiments.” Le Dr Marie Chevret-Measson rencherit : “Ils devraient plus s‘ecouter. Un homme n’est gui?re une cherie, ni une femme un homme. Chacun pourrait saisir De quelle fai§on fonctionne l’autre Afin de aller vers son ravissement et jouer avec ceci.” Dans un couple, le comportement ideal de chacun reste de rester le moins rarement possible “au niveau amoureux”. Sexualite ou nullement, les seniors “doivent redecouvrir le ravissement de se Realiser plaisir l’un l’autre”, explique le Dr M. Lachowsky qui appelle ceci du joli nom de “jouer a toutes les fiances”. Cela consiste a bouger de la routine, se parler, bouger de chez soi pour echanger, faire des choses ensemble.

Instaurer 1 climat d’intimite Concretement, ceci signifie “avoir environ manifestations de tendresse”, explique le Dr Antoine Lemaire. Cela va instaurer un climat de detente propice a toutes les rapports amoureux. Car en amour, surtout apres 60 annees, rien ne pourra se produire au stress et sous la pression. Un homme tel une femme va avoir un desir tres vraiment, aussi que le physique ne suit pas forcement. “Le plus profitable est de se mettre au rythme du corps de le partenaire”, conseille le Dr Marie-Helene Colson. “Si l’excitation est plus lente a venir Afin de des raisons physiologiques (lubrification ou orgasme plus lent concernant la femme, erection plus fragile concernant l’homme), il va falloir savoir prendre des heures, essayer d’autres gestes… jouir de l’instant. Et savoir souffler.” D’la tendresse, en sensualite. Et la totalite des sexologues le disent : redecouvrir, comme les adolescents, le plaisir des preliminaires. Avec 1 petit supplement acquis avec l’experience : les hommes doivent savoir a etre plus receptifs et ces dames moins dans l’attente du joie.

Et le desir des jeunes femmes, comment le raviver ? Qu’ils soient lies a la menopause et/ou a l’age, les troubles feminins du desir seront frequents, meme si la plupart jeunes filles y echappent. Qu’est-ce que les gynecologues proposent aujourd’hui aux femmes qui ont une libido en baisse aussi qu’elles auraient l’envie “d’assurer” ? Les reponses du Dr Michele Lachowsky.

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